Depuis longtemps, je me disais qu’il fallait songer à protéger mon trafic sur Internet, surtout quand j’y accède depuis des réseaux publics ou dans des chambres d’hôtel. Même en étant prudent, chacun peut se trouver à la merci d’un jeune pirate exerçant ses talents sur des réseaux mal protégés, d’un criminel en quête de données monnayables, d’un administrateur de réseau peu scrupuleux — ou des services d’espionnage d’un État soupçonneux. Sans même parler du sentiment irritant de traçage par des compagnies commerciales exploitant vos données : sans vraiment avoir quelque chose à cacher, le sentiment d’être suivi en ligne a quelque chose d’irritant ; il n’y a aucune raison de rendre la vie facile à ceux qui voudraient exploiter des informations personnelles à leur profit. Puisque les offres de VPN se multiplient et sont proposées à des prix très raisonnables, j’ai décidé d’en choisir une correspondant à mes besoins. Je croyais que cela serait simple : cela n’a pas été le cas, mais pas pour des raisons techniques.